Préparer la Nouvelle-Zélande / Le matériel – part 4

Parce que ce n’est jamais totalement terminé, j’avais encore quelques détails à bricoler sur mon vélo.

D’abord, changer les freins : mes freins et leurs patin étaient d’origine. Ils n’étaient pas si usés que ça (je freine rarement finalement) mais j’ai changé l’ensemble pour avoir des freins où, pour changer le patin, il suffit de changer la petite bande de caoutchouc plutôt que de devoir changer un plus gros morceau. Je n’aurai donc plus besoin de régler les freins à chaque changement, ce qui sera plus simple sur place en cas d’usure.

Ensuite, souvenez-vous : à cause du changement de pédalier ma chaîne était devenue trop longue. Il a donc fallu que je m’attache à la raccourcir d’un maillon. Pour ce faire, l’outil-magique-qui-va-bien (et oui, pour chaque truc à faire sur un vélo, il existe un outil spécifique, ou presque) c’est le dérive-chaîne. Bon, il paraît qu’un crochet en métal bricolé peut faire l’affaire mais je préfère ne pas faire de connerie, alors va pour l’outil officiel. Ben c’est plutôt rigolo à faire j’ai trouvé (même si j’ai du gratter fort pour me débarrasser du cambouis ensuite). Et j’ai même réussi à éviter le piège du débutant (paraît-il) en sortant juste assez le rivet de l’axe, mais sans le sortir complètement non plus (c’aurait été galère à rentrer ensuite). Me voilà donc avec une chaîne de bonne taille et un couple de maillon en rab’ au cas où.

Mes vis de réglage du dérailleur étaient complètement bousillées, j’ai donc préféré les changer avant le départ. Les nouvelles sont très bien et devraient mieux tenir le coup. J’en prend en supplément au cas où.

Les pneus bien sûr ! Je les avais acheté mais il fallait les mettre. J’en ai profité pour mettre des chambres à air neuves : les miennes étaient d’origine et en bon état, sauf l’une avec une rustine, mais j’ai préféré partir avec des neuves quand même. J’ai du m’y prendre à deux fois pour l’un des pneus cependant, je m’étais trompé dans le sens. Et oui, y’a un sens pour les pneus, un truc subtil lié au motif, l’accroche, le glissement… En tout cas, le relief des nouveaux, sans être excessif (roulabilité !), est plus marqué (accroche !).

La Nouvelle-Zélande étant très stricte sur les contrôles sanitaires à l’entrée sur le territoire, j’ai également du récurer mon vélo très soigneusement (une bonne douche, y’a que ça de vrai !) afin qu’il n’y reste plus trace de terre.

Et enfin, dans les bêtises à ne pas oublier : le ré-étalonnage de mon compteur kilométrique. Hé oui, qui dit changement de pneu, dit changement du diamètre total des roues et donc distance différente par tour de roue. Je ne l’ai pas encore fait mais il ne faudra pas que j’oublie de m’en occuper…

Voilà, je crois qu’il ne reste plus que l’emballage et zou !

4 Comments

on “Préparer la Nouvelle-Zélande / Le matériel – part 4
4 Comments on “Préparer la Nouvelle-Zélande / Le matériel – part 4
  1. Pingback: Anonyme

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.