Avril 2012
Je n’avais pas de réelles inquiétudes sur ce point mais il me trottait tout de même dans la tête : quelle serait la réaction de ma direction à ma demande de prendre six semaines de congés d’affilée ? Et bien j’ai la réponse : c’est tout à fait possible dans la limite des nécessités de service et mon employeur ne voit aucun inconvénient si le bon suivi de mes missions le permet. Donc, en gros, je m’arrangerai pour vérifier avant de confirmer ces congés que ça ne posera pas de problème pour le gros dossier de l’année (j’en aurai une vision plus claire en début d’été je pense) et j’anticiperai les petits dossiers pour que mon absence ne pose pas de problème.
Vu la bonne ambiance, l’organisation et les rapports de confiance qui règnent au boulot, je ne me faisais pas vraiment d’inquiétude mais ça m’a tout de même fait quelque chose d’avoir parlé de ce projet et qu’il ait reçu un bon accueil. Je me suis sentie soulagée d’un obstacle potentiel alors même que le plus gros reste à venir : organiser mon travail pour que ça ne l’affecte pas et, ensuite, tout ne dépendra plus que de moi : me décider sur mon programme, acheter mes billets d’avion, prévoir mon budget, etc.
En fait, avoir passé cette étape c’est le signe que les choses commencent à se concrétiser. Je n’en suis plus au stade d’une vague idée, d’un rêve mais bien au stade de l’organisation réelle. Je n’ai encore rien signé, certes, mais y’a de l’officialisation dans l’air quand même !
J’ai remarqué qu’en général, les employeurs ne répondent de cette manière qu’à leurs bons éléments. Ils savent que tu fais du bon boulot et que tu rangeras ton tiroir avant de partir en vacances, donc ils sont ok.
C’est plutôt bon signe, donc 🙂
Ou alors eux aussi ils sont fan de cyclo-tuning. Qui sait ?
Ca faisait longtemps que j’avais pas vu autant d’articles ici.
Good luck, looking forward for reading the next papers !
C’est presque de la provoc’ ça, non ?
Que nenni, que nenni.