La technique du job hunting requiert patience et persévérance. Des heures d’affût sur les sites d’offres. Ensuite la traque commence : repérer le gibier intéressant de celui qui ne rentre pas dans les standards minimaux en terme de géographie, de paie, d’intérêt, et suivre les traces indiquant comment postuler. Puis, il faut mettre en place le piège (oui oui, dans la chasse à l’emploi il n’y a pas de coup de fusil, tout fonctionne à la ruse) : un cv dans ses plus beaux atours et une belle lettre de motivation bien tournée, assaisonnée de quelques explications sur pourquoi je postule à Pétahouchnok alors que je vis à Cambridge…
Enfin voilà, tout ça pour dire que l’un des quarante pièges envoyés depuis le début de l’année de l’Écosse au Languedoc-Roussillon a fait une prise. Une belle prise même, parisienne pour ne rien gâcher. Il me reste encore à confirmer la capture (qui n’est pas acquise bien entendu) en me montrant très convaincante lors de l’entretien, mercredi.
Parce que c’est pas tout ça, mais la chasse ça commence à me gaver : j’aimerais bien bouffer du gibier maintenant !
hihi, oui, j’imagine.
Cela doit être pas très gratifiant,
mais je pense que cela ne peut être qu’un enrichissement en soit !
Et puis on début tous de rien,
pour monté jusqu’au sommet !
Garde espoire,
et bon courage pour la suite.
Même si l’article, datte d’y y’a peut.
QB122.