Il est vrai que j’ai moins randonné dans de vastes paysages ouverts que lors que de mon précédent séjour. Pourtant, les endroits visités se sont encore prêtés fort honorablement à l’exercice de la photo panoramique.
Le massif de Kerlingarfjöll, en particulier, pourrait facilement se retrouver encadré sur l’un de mes murs.
Du côté du lac Mývatn et du village de Reykjahlíð, le plat est maître, avec ses champs de lave parfois agrémentés d’un cratère volcanique.
Dans le fjörd de Djúpivogur, hélas, les nuages bas nous auront empêchés de profiter entièrement des montagnes environnantes mais la mer, elle-même, faisait déjà plaisir à voir.
Bien qu’ayant visiblement reculé depuis quelques dizaines d’années, Svinafelljökull continue de se déverser dans la plaine sud-islandaise.
Quant aux montagnes de glace souillées par les cendres au pied de Virkisjökull, elles offrent une ambiance d’apocalypse par temps médiocre.
Sur la plage de Vík, enfin, même sous les nuages, le fin sable noir contraste avec la mousse verte des collines qui le surplombent.